mercredi 21 septembre 2011

La comtesse et les ombres

Alors que la comtesse Carolina Fantoni s'apprête à épouser Pietro, le célibataire le plus convoité de la région, un terrible voile vient obscurcir son bonheur : elle est en train de perdre la vue. Inexorablement, son champ de vision se réduit, lui dissimulant la beauté des paysages qui lui sont si chers. Ses parents refusent de la croire, tout comme son fiancé. Seul Pellegrino Turri, inventeur excentrique et ami de longue date, la comprend. Follement épris de la comtesse, le jeune homme met au point un objet révolutionnaire : la première machine à écrire, grâce à laquelle Carolina pourra communiquer avec son entourage. Cette invention va sceller le destin de ces deux rêveurs, qui entament une correspondance secrète et dangereuse... Librement inspiré de l'histoire de la première machine à écrire, ce roman rafraîchissant et intemporel est une ode à l'imagination et aux sens.
Avant toute chose, amateurs de lectures qui ont un sens, et un minimum de qualité linguistique, passez votre chemin !!! Ce livre n’est pas pour vous.

Je me suis trompée….lourdement trompée. Il faut dire que la 4ème de couverture est accrocheuse, et la couverture attire le regard…..
J’imaginais pouvoir trouver, dans une romance, une réflexion sur ce qu’est la cécité, sur ce que vivent les personnes qui en sont attentes…..Et bien non, rien !!!!
Le seul avantage du livre, c’est qu’il se lit vite, la linguistique n’est pas élaborée, bien que souvent très lourde.

Le sujet aurait pu être une belle base de roman. Il est à mon avis mal exploité. C’est le type même du livre que l’on trouve au rayon évasion de nos librairies, rayon que je fuis comme la peste.
J’attendais un petit quelque chose de cette fameuse machine à écrire dont je pensais qu’elle pouvait avoir un intérêt particulier….Or elle n’arrive qu’au dernier tiers du livre…Et que dire de la correspondance secrète des deux amants, dont on ne voit rien ?
Je me suis trompée, personne n’est responsable, c’est moi qui ai demandé à lire ce livre, pensant que…..Pour cela je remercie chaleureusement News Book et les éditions des Presses de la cité pour m’avoir donné l’occasion de le lire. Je suis plus que gênée d’écrire un tel avis ; mais non, vraiment, je n’ai pas aimé du tout.
Carey Wallace-Presse de la cité-269 pages








3 commentaires:

  1. il est vrai que la couverture attire le regard !!!
    suite au prochain bouquin !!!

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  2. Et bien que de déception de lecture ! j'espère que ta prochaine lecture te plaira.

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  3. Dommage, le résumé me laissait penser à une belle histoire.

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