lundi 6 février 2012

Vingt ans pour plus tard

J’ai un rapport difficile avec les nouvelles, quel que soit le recueil, l’auteur, le thème, il n’y a rien à faire, cela ne passe pas. Il me faut du continu, du suivi pour que la lecture ait un sens pour moi.
Je n’ai rien à reprocher à ce livre, si ce n’est que ce sont des nouvelles, et que l’ennui me gagne à partir de la seconde que je lis. J’ai beau n’en lire qu’une à la fois, quand je me remets à l’ouvrage, j’ai l’impression d’un livre nouveau avec tout le travail de réinstallation, de reprise de contact, de repositionnement que cela impose. Moralité, je n’ai jamais la tête à l’ouvrage, et je ne sais pas, et ne voit pas ce qui relie chaque texte à son voisin.
Je suis navrée, mais ce dernier livre Elyzad aura été pour moi le plus pénible, et le plus  incompris.
Je remercie les éditions Elyzad, et libfly pour ce dernier envoi de l’opération " Deux éditeurs se livrent", grâce à laquelle j’ai  lu 4  autres excellents ouvrages : L’envers des autres- Salam Gaza- Tunis, par hasard- Nos silences.

Vingt ans pour plus tard, Collectif
Elyzad -collection Passages (09/04/2009)
384 pages
4ème de couverture :
Cinq écrivains réunis autour d'un mot : Adolescence. Cinq nouvelles inédites, autant de regards posés sur la Tunisie d'aujourd'hui, en contrastes et résonances.
Virginité, sexualité, port du voile, religion, perspectives d'immigration... Wael, Sarra et les autres nous révèlent leur mal-être, leurs secrets, leurs rêves, dans une société prise entre Orient et Occident.
De l'enquête au conte, un voyage en mots et en images pour nous livrer les facettes les plus intimes d'une génération en mutation.

3 commentaires:

  1. Cela fait plaisir, je ne suis pas donc la seule à ne pas " accrocher" aux nouvelles.

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  2. Moi aussi, j'ai du mal à accrocher avec les nouvelles.

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  3. Une de plus!!
    Moi aussi j'ai du mal avec les nouvelles.

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