jeudi 12 février 2015

Atlas géopolitique d’Israël



A noter, que j’avais en main la seconde édition, parue en avril 2012, et qu’entre temps une remise à jour a été publiée. J’ai donc lu des informations, quelques peu « rassies », pour certaines, en tout cas !!! Rien de bien grave à mon avis….

Voilà un état né dans la guerre, construit dans la douleur, et seul au monde à ne pas être reconnu par plusieurs pays… Un état au milieu d’une région qui est une véritable poudrière… Et une petite mise au point n’est pas superflue.
Pour cela, un bon schéma vaut mieux qu’un long discours. Et si, le propos émane d’un spécialiste, que demander de mieux ?
J’ai une affection particulière pour cette collection, qui tout en restant synthétique, ne cède en rien à la facilité. Les choses les plus compliquées (et pour le cas d’Israël, c’est compliqué), à chaque fois, un petit miracle a lieu, pour qu’elles paraissent limpides au lecteur.

Ouvrage bien conçu tant dans sa progressivité, dans sa cartographie nombreuse et détaillée, que dans ses textes, L’atlas géographique d’Israël tient toutes ses promesse s’adresse à toutes celles et ceux qui veulent approfondir leurs connaissances.

Atlas géopolitique d’Israël, Frédéric Encel
Autrement éditions, Janvier 2015 (troisième édition)
96 pages


4ème de couverture :
Les défis d'une démocratie en guerre
Plus de 90 cartes et infographies en couleurs pour saisir au plus près la complexité politique, socio-économique, démographique, diplomatique et stratégique d'Israël.
. Les représentations historiques, mentales et géopolitiques qui ont fondé l'État d'Israël.
. Les Israéliens peuvent-ils rompre avec l'isolement ?
. L'enjeu de la démographie : fantasme ou réalité ?
. La question stratégique des ressources.
. Pourquoi les pourparlers israélo-palestiniens sont-ils toujours bloqués ?
Autant de questions abordées avec objectivité par un spécialiste reconnu, dans la troisième édition de cet ouvrage de référence.

A propos de l’auteur :

Frédéric Encel, né à Paris le 4 mars 1969, est un géopolitologue et essayiste français. Il est professeur de relations internationales à l’École supérieure de gestion, habilité à diriger des recherches (HDR), maître de conférences à Sciences-Po Paris, et directeur de séminaire à l'Institut français de géopolitique, université de Vincennes à Saint-Denis. Il est également intervenant à l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). Frédéric Encel a été nommé au grade de Chevalier dans l'Ordre national du Mérite (JO 17/5/2009).

Diplômé de Sciences-Po et docteur en géopolitique de l’université de Vincennes à Saint-Denis, premier Prix au Concours national Résistance et Déportation (1987), Frédéric Encel est professeur de relations internationales à l’École supérieure de gestion. Habilité à diriger des recherches, il est en outre maître de conférences à l'Institut d'études politiques de Paris et intervenant au centre de préparation à l'ENA de l'Institut d'études politiques de Rennes. Hormis ses activités académiques, il est consultant en géopolitique pour des entreprises publiques et privées œuvrant à l’exportation.
Formé par Yves Lacoste au Centre de recherche et d'analyse en géopolitique (CRAG, devenu ensuite Institut français de géopolitique), il est spécialiste du conflit israélo-palestinien. Ses travaux et publications portent sur les questions stratégiques, les relations internationales (Moyen-Orient en particulier), la défense de la laïcité et l’égalité des femmes. En 1998, il écrit Géopolitique de Jérusalem, sujet de sa thèse de doctorat. L'année suivante, il rédige Le Moyen-Orient entre guerre et paix. Une géopolitique du Golan. En 2000, il publie L’art de la guerre par l’exemple. Stratèges et batailles. Suite aux événements du 11 septembre 2001, il rédige Géopolitique de l’apocalypse. La démocratie à l’épreuve de l’islamisme en 2002. En collaboration avec Olivier Guez, l'année suivante, il publie La Grande Alliance. De la Tchétchénie à l’Irak : un nouvel ordre mondial. En 2004, il écrit avec François Thual Géopolitique d’Israël. Dictionnaire pour sortir des fantasmes. Son avant-dernier essai en date, Comprendre le Proche-Orient. Une nécessité pour la République, coécrit avec Eric Keslassy, traitait de la menace potentielle d'une « mauvaise importation du conflit proche-oriental en France pour la cohésion nationale ».


Pour le challenge d'Enna, catégorie Lieu (3ème ligne)

3/24

1 commentaire:

  1. Tu en es déjà à la troisième ligne du petit bac...bravo
    Peut-être intèressant pour amèliorer ses connaissances mais je prèfère tout de même le faire avec des romans

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