mercredi 16 août 2017

La fin de Mame Baby



Cela grouille de monde dans le Quartier, plus précisément cela grouille de femmes…Aline, Suzanne, Mame Baby, Mariette.
Je me faisais une joie de découvrir ce premier roman. J’imaginais des choses, sans doute, une belle histoire, et pourquoi pas le coup de cœur tant attendu avec cette rentrée…
J’ai vite décroché et déchanté. Non pas qu’il s’agisse d’un mauvais roman ; au nom de quoi l’affirmer ! Il m’a manqué une certaine structure, une trame minimum pour faire une histoire qui à mes yeux tient debout.
J’ai plus découvert une chose un peu floue, pas très définie  dans laquelle je n’étais pas à l’aise et qui de fait ne m’a pas retenue.

Ce roman, qui j’en suis certaine trouvera son public, m’a filé entre les doigts, ne m’a pas procuré la moindre émotion, m’a perdu. Il m’a échappé, tout simplement.

Ne m’en voulez pas, je suis sans doute un peu trop fatiguée pour ce genre de littérature.

Merci aux éditions Gallimard et Babélio pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique spéciale.


La fin de Mame Baby, de Gaël Octavia, chez Gallimard (Août 2017,180 pages)


Gaël Octavia, née le 29 décembre 1977 à Fort-de-France, est une écrivaine et dramaturge française. Elle est aussi réalisatrice et artiste peintre. La fin de Mame Baby est son premier roman.

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