mardi 29 mars 2011

Grand amour


À la suite d'une déception amoureuse, Agnès, traductrice de romans sentimentaux, quitte Paris sur un coup de tête. Direction l'Auvergne où se trouve l'homme de ses rêves, le demi de mêlée de l'équipe d'Aurillac qu'elle a vu nu dans un calendrier...Après le très remarqué Actrice en 2005, Stéphane Carlier signe une comédie remuante, élégante et sexy. Hommage décomplexé à la littérature sentimentale façon Barbara Cartland, Grand Amour est à la fois d'un romantisme éperdu et d'une irrésistible drôlerie.
Je remercie chaleureusement les éditions du Cherche midi pour ce cadeau surprise. Une surprise à double titre : je ne m’attendais pas à un cadeau de leur part, et une fois le cadeau annoncé, je n’en connaissais pas la nature. Et c’est là que la surprise fut la plus déroutante….
En effet je ne lis jamais ce genre de littérature, une affaire d’éducation, des ambitions culturelles quelque peu différentes, et surtout par manque de goût pour la chose.
Pour être honnête j’ai abordé ce roman avec beaucoup de réticences, argumentées par une couverture d’un rose qui me laissait craindre un peu le pire : j’espère qu’il ne s’agit pas d’un roman à l’eau de rose pour midinette… me suis-je dis.
C’est un livre qui se lit très vite, les chapitres sont aérés, et d’une longueur moyenne. Cela fait un peu mieux passer le contenu, et le sujet qui m’ont paru plus que superficiels, et en tout cas, sans grand intérêt.
Le niveau de langage est à l’avenant, c'est-à-dire simple, dans un registre assez populaire, voir parfois un peu populeux par endroit, mais cela reste suffisamment épisodique pour ne pas en compromettre la lecture.
Ce fut une expérience, que j’ai gardée pour un après-midi au soleil tout en gardant un œil ouvert sur l’horizon. Elle n’a pas duré trop longtemps, et c’était ce qu’il fallait : les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures.
Voilà un genre de « littérature » qui peut convenir à certaines, ou certains, mais qui en tout cas ne comble pas mes attentes en la matière. Tout le monde ne peut pas aimer la même chose, et heureusement, d’ailleurs.
Stéphane Carlier-Le cherche midi (14 avril 2011)-222 pages

2 commentaires:

  1. J'ai beaucoup aimé votre petit récit sur le livre, ce récit me donne vraiment envie de lire ce livre. Car je suis une grand fan de livre romantique et d'amour.

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  2. sauf que je n'en dis pas beaucoup de bien......car je n'aime pas cette littérature

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