L’ouvrage était en ma possession depuis longtemps. Souvent je l’ai pris en mains, aussi souvent je l’ai reposé parce qu’il me faisait peur…Mon sixième sens, cette fois-ci , ne m’a pas trahie.
Dans un paysage de désolation, un homme et son fils marchent…. On ne sait pas où, on ne connait pas leur prénom, on ne sait pas quand… bref, on ne sait rien.
Un livre en noir et blanc, et avec toutes les nuances que donnent le mélange du noir et du blanc…mais plus proche du gris foncé que du gris clair.
Je me suis retrouvée face à une écriture dépouillée, des dialogues lapidaires aussi secs que peuvent être les coups de trique !!! Un style surprenant, déroutant, qui a vite montré ses limites, en laissant un ronron lancinant qui finit par lasser.
Le texte est à l’avenant : pas de chapitres, tout juste quelques lignes de séparation, pour ne pas faire trop " gros paquet", des dialogues à peine distincts de la narration.
Dépressifs et dépressives, fuyez !!! La seule issue sera pour vous le placard à balai pour vous y pendre. Il n’y a aucun espoir, aucun échappatoire, aucune issue…Rien….
Je me suis sentie étouffée, prisonnière ; J’ai eu l’impression d’être enrôlée dans une aventure où chaque jour se suivent et se ressemblent : se réveiller, trouver de quoi manger, s’abriter, dormir. J’ai cru lire à chaque fois la même chose…
Que dire de la relation entre le père et le fils ? Ils s’aiment…la belle affaire !!! Situation normale, surtout en temps de crise…on se serre les coudes. Et puis un père…ça aime son fils, forcément ; rien de drôle là-dedans. Rien de prenant dans ce livre à ce sujet-là…
Le livre me faisait peur… son succès planétaire aussi…et de cela je me méfie. Mon sixième sens avait raison…ce livre ne m’a pas plu, ne m’a pas touchée.
Pour l'état de Rhode Island dans le challenge de Sofynet.16/51
Dans un paysage de désolation, un homme et son fils marchent…. On ne sait pas où, on ne connait pas leur prénom, on ne sait pas quand… bref, on ne sait rien.
Un livre en noir et blanc, et avec toutes les nuances que donnent le mélange du noir et du blanc…mais plus proche du gris foncé que du gris clair.
Je me suis retrouvée face à une écriture dépouillée, des dialogues lapidaires aussi secs que peuvent être les coups de trique !!! Un style surprenant, déroutant, qui a vite montré ses limites, en laissant un ronron lancinant qui finit par lasser.
Le texte est à l’avenant : pas de chapitres, tout juste quelques lignes de séparation, pour ne pas faire trop " gros paquet", des dialogues à peine distincts de la narration.
Dépressifs et dépressives, fuyez !!! La seule issue sera pour vous le placard à balai pour vous y pendre. Il n’y a aucun espoir, aucun échappatoire, aucune issue…Rien….
Je me suis sentie étouffée, prisonnière ; J’ai eu l’impression d’être enrôlée dans une aventure où chaque jour se suivent et se ressemblent : se réveiller, trouver de quoi manger, s’abriter, dormir. J’ai cru lire à chaque fois la même chose…
Que dire de la relation entre le père et le fils ? Ils s’aiment…la belle affaire !!! Situation normale, surtout en temps de crise…on se serre les coudes. Et puis un père…ça aime son fils, forcément ; rien de drôle là-dedans. Rien de prenant dans ce livre à ce sujet-là…
Le livre me faisait peur… son succès planétaire aussi…et de cela je me méfie. Mon sixième sens avait raison…ce livre ne m’a pas plu, ne m’a pas touchée.
La route, Cormac McCarthy
Edition de l'olivier
245 pages
4ème de couverture :
L’apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres. On ne sait rien des causes de ce cataclysme. Un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d’objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Ils sont sur leurs gardes car le danger peut surgir à tout moment. Ils affrontent la pluie, la neige, le froid. Et ce qui reste d’une humanité retournée à la barbarie. Cormac McCarthy raconte leur odyssée dans ce récit dépouillé à l’extrême.
Quelques mots à propos de l'auteur:
Cormac McCarthy est né à Providence (Rhode Island) en 1933. Couronnée par le National Book Critics Circle Award et le National Book Award, son œuvre est considérée aujourd'hui comme l'une des plus marquantes de la littérature américaine contemporaine.
Ah dommage que tu n'aies pas accrochée moi j'ai passé un excellent moment avec ce livre. Oui il n'y a pas d'espoir mais après tout pourquoi il devrait en avoir. Après je trouve que ta chronique minimise trop la relation père-fils oui il y a de l'amour mais il y a tellement plu que cela. Par contre c'est vrai que le style peut dérouter mais se révèle parfait pour cette histoire.
RépondreSupprimerJe n'ai pas apprécié ce roman moi non plus, pour pas mal les mêmes raisons que toi.
RépondreSupprimerCe livre ne me tentait pas et me tentera encore moins maintenant
RépondreSupprimerJe ne l'ai pas lu mais tout comme toi, mon sixième sens me dit de ne pas y aller. L'histoire ne m'a pas l'air passionnante. Je pense que c'est un roman qu'on adore ou déteste.
RépondreSupprimerJ'ai moi aussi souvent pris ce livre dans mes mains, pour le reposer tout aussitôt. Je vois que j'ai bien fait.
RépondreSupprimerUn livre que j'ai dans ma PAL, mais que j'appréhende de lire... Hop, billet ajouté !
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