J’ai fait connaissance
de l’auteur avec Guerre sale qui m’avait laissé bonne impression. C’est sans appréhension
particulière que j’ai remis le couvert, mais avec une autre héroïne, Louise
Morvan. Je suis assez déçue de cette lecture dont l’histoire, à mon sens n’a
jamais vraiment décollé. Il règne comme un genre de ronron qui finit par mener en bateau le lecteur, et ,
pire encore, à l’embarquer aux 2/3 dans quelques aventure moscovites assez
floues, et qui finissent par perdre
davantage le lecteur que l’éclairer.
Ce policier
manque d’action, campe des personnages insuffisamment abordés ; l’ensemble
étant écrit dans un style assez conventionnel, et d’une construction qui manque
d’imagination.
Un polar qui
ne restera donc pas pour moi dans les annales, et dont je crains qu’il ne me
reste pas grand-chose dans les semaines à venir.
La nuit de Geronimo, Dominique Sylvain
Viviane Hamy (16/03/2009) Points (05/04/2012)
Sélection
2012 pour le prix du meilleur polar des lecteurs Points
355/410 pages
4ème de couverture :
Tous les
matins, les Domeniac reçoivent le même email: « Geronimo n’a tué personne, mais
qui a tué Geronimo? » Le message réveille de cruels souvenirs dans cette
famille déchirée: Geronimo, ou plutôt Thierry Domeniac, génie de la génétique,
s’est tué des années plus tôt. Engagée pour démasquer l’expéditeur, Louise
Morvan s’étonne de certains silences. Que lui cache-t-on des découvertes de
Geronimo ?
Compte pour un personnage connu dans le challenge Petit bac organisé par Enna.
Pour le challenge d'Opaline.
Bah, rien à noter, ça me va... ;-)
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