Je lis très
peu de littérature sud-américaine… elle ne m’attire pas spécialement, et le peu
que j’ai lu ne m’a pas laissé de souvenir impérissable….
Cet ouvrage
ne fera pas exception….j’en ai lu péniblement la moitié ; je n’y ai rien
compris. J’ai ensuite picoré au-delà, histoire de voir si je ne ratais pas
quelque chose….
J’y ai
trouvé ceci, p 263 :
« Je n’avais rien trouvé de ce
que j’étais venu chercher à Buenos Aires, et à présent je me sentais étranger à
cette ville, étranger au monde, étranger à moi-même »
Que le
narrateur se rassure, moi non plus je n’ai rien trouvé dans ce livre, si ce n’est
l’ennui, et une profonde répulsion à mettre les pieds dans cette ville qui
pourtant , aux dires de beaucoup,vaut le coup d’être visitée. Je n’ai rien entendu du tango, rien….
Le chanteur
de tango, Tomas Eloy Martinez
Gallimard
(19 Janvier 2006)/Folio (5 Juillet 2007)
241 /306
pages
4ème de couverture :
On dit qu'il
ne chante plus que dans quelques cabarets malfamés du port. On dit aussi qu'il
est très malade mais qu'il chante parfois dans un vieux bar du centre-ville.
Certains affirment qu'ils l'ont entendu chanter dans un square de Palerme,
l'ancien quartier italien, et d'autres vont jusqu'à dire qu'il se produit
inopinément sur les marchés populaires des faubourgs. Bruno Cadogan regarde
perplexe la carte de Buenos Aires et essaie de déceler la logique qui commande
les dernières apparitions de Julia Martel. Car ce légendaire chanteur de tango
à la voix obscure et envoûtante, l'homme qui n'a jamais voulu enregistrer de
disques, est bien plus qu'un mythe urbain. Martel est un artiste accompli qui
ne laisse rien au hasard et qui dessine par sa présence (et son absence) une
autre carte de la ville, les traits d'une énigme. Volontaire, résolu, le jeune
Américain est prêt à tout pour le rencontrer et pour l'entendre chanter ces
étranges morceaux dont il est le seul à connaître les paroles et le sens. Mais
sa quête va le conduire là où il ne l'attend pas : au cour même de
l'insurrection populaire de 2001 qui fait chuter les présidents les uns après
les autres. Bruno Cadogan se trouve ainsi emporté par le tourbillon de
l'histoire dans un Buenos Aires rebelle et assoiffé de justice où la voix de
Julio Martel est devenue l'un des symboles de l'espoir.
A propos de l’auteur :
Né à Tucuman
en 1934, Tomas Eloy Martinez compte parmi les plus grands auteurs argentins et
latino-américains actuels. Journaliste, romancier, critique, universitaire, il
a à son actif plusieurs œuvres majeures dont " Santa Evita " (1997), "
Le roman de Peron " (1998) et " Orgueil " (2004).
Pour la catégorie Auteurs latino-américains du challenge D'Ys.
Zut, un coup pour rien. Mais ne désespère pas des latino américains, peut-être devrais-tu choisir un titre plus romanesque.
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