Salle
Poirel, Nancy 6 et 7 Novembre 2014
Rani
Calderon, direction
Antoine
Pierlot, violoncelle
Ludwig van Beethoven
(1770 – 1827)
Ouverture de Coriolan,
opus 62
Belle
entrée en matière pour un orchestre en grande forme, et dirigé avec précision
par celui qui occupe le poste de premier chef invité ; autrement dit il n’en
est pas le patron, mais presque !
Ernest
Bloch (1880 – 1959)
Schelomo
Né
à Genève, et mort aux Etats-Unis, Max Bloch aura été fort influencé par
Strauss, et Debussy d’une part, et ses racines hébraïques, d’autre part.
Total
inconnu pour moi à mon entrée en salle, j’ai été immédiatement conquise par
cette composition qui s’inspire de la personnalité du Roi Salomon. C’est
Antoine Pierlot, qui m’m’avait déjà subjuguée par son interprétation du
concerto de Chostakovitch qui est ce soir l’interprète tout en intériorité de
cette pièce absolument superbe magnifiquement servie par un soliste parvenant à
faire chanter son violoncelle au milieu d’un orchestre riche en sonorité qu’apportent
2 harpes, un célesta, quelques cuivres
Ludwig
van Beethoven
Symphonie n°3 en mi
bémol majeur, dite Héroïque
L’orchestre
déploie tout son talent tout au long des quatre mouvements d’une œuvre que tout
le monde connait, mais dont in ne se lasse jamais, surtout interprétée aussi
solidement que ce soir .
Un
bien beau moment de musique qui autorise
l’auditeur à laisser au vestiaire sa
besace et son contenu et à se remplir et s’enduire du meilleur.
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