De
la fin de la seconde guerre mondiale aux premières années de la présidence
Obama, Regina Porter déroule sur plusieurs générations les affres et les réussites
de deux familles dont les membres n’auront de cesse de se croiser et de tisser
au gré de l’histoire de ce pays une histoire singulière.
Si
je salue d’une certaine façon la construction particulière et audacieuse de ce
roman, si je souligne la grande qualité de la traduction (David Vann et Gabriel
Tallent sont également traduits par Laura Derajinski ; des références donc !),
il n’en reste pas moins que j’ai été moyennement touchée par ce roman, parce
que la construction aussi brillante soit-elle ne me permet pas d’entrer en profondeur
et durablement dans ce type de roman. Il m’a fallu le laisser un peu décanter
avant de le reprendre sans pour autant parvenir à me concentrer pleinement, et
donc à l’apprécier comme il le mériterait.
Une déception ,sachant que j'en attendais beaucoup ....
Une déception ,sachant que j'en attendais beaucoup ....
Ce
que l’on sème de Regina Porter, traduit de l’américain par Laura Derajinski,
chez Gallimard (Août 2019, 350pages)
Regina
Porter est née à Savannah, aux Etats-Unis. Elle est diplômée du précieux
programme d’écriture créative de l’université de l’Iowa. Ses textes de fiction
ont été publiés dans The Harvard review et Tin House Magazine.
Elle vit aujourd’hui à Brooklyn. Ce que l’on sème est son premier roman.
oh oui quand on espere tant....dommage quand meme...car cela semblait vraiment bien....
RépondreSupprimerQuand on pense qu'on va aimer un livre, la déception n'en est que plus amère.
RépondreSupprimerJe viens de le finir, et je suis plus emballée que toi... avis à venir (peut-être)...
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