Je savais ce livre en gestation, je savais avec quel acharnement son auteur y travaillait ; je savais qu’elle y mettait tout son cœur et qu’elle ne ménageait pas sa peine à consulter les archives ici et là… Je l’attendais donc, ce livre, avec une certaine frénésie.
J’avais été transportée par le troisième jour, l’ouvrage avec lequel j’ai fait sa connaissance, dans tous les sens du terme. J’avais aimé, un peu moins, mais aimé tout de même sous les étoiles. Fureur, ne pouvait pas, ne pas me plaire. Le sujet m’attirait, l’écriture de Chochana Boukhobza est agréable à lire, sa manière d’organiser les choses me convient. Je ne pouvais pas passer à côté de fureur. Impossible… et pourtant…
J’ai terminé l’ouvrage sur une déception, d’abord sur une fin qui pour moi n’a aucun sens, une fin qui me laisse seule devant mon livre, pleine d’interrogations, de questions sans réponses.
Si les sujets abordés sont tous, individuellement intéressants, voir passionnants, ils manquent de liant, de développement Il y a trop de choses .Et j'ai très mal compris l’association de tout cela.
L’évocation du groupe de résistants de la montagne noire, du groupe Manouchian m’a réellement interpellée. J’ai eu la chance de chanter l’Affiche rouge, mis en musique par Léo Ferré. Alors c’est dire que cela me parle. Mais c’est trop peu abordé
Quel rapport entre les résistants de la montagne noire, et Fukushima ?
Mettre en lumière un groupe de vieux amis liés entre eux par leur combat contre l’ennemi était un bon départ. Ils sont attachant ces papys encore plein d’énergie. Mais tout de même, 2 grands-pères de 85 ans ou plus qui partent seuls en Iran…cela me laisse un peu perplexe. Connaissant assez bien le 3ème voir le 4ème âge, cela me parait pour le moins improbable. J’ai assez mal saisi le but de ce voyage.
J’aurais aimé en savoir un peu plus sur ce qui est arrivé à Francis, cette affaire occupe une bonne part du livre, entretien un certain suspense. On lit, on attend, on espère ; mais rien ne vient
Saintonges ? Qu’en est-il du mystère Saintonges ? On ne sait rien.
Tout cela fait de l’ouvrage une histoire non aboutie, et me laisse sur une grosse faim non assouvie.
4ème de couverture :
Ils s'appellent Jacques, Alexis, Fanny, Stéphane, Francis... Malgré leur grand âge, ils aiment rire, boire et danser. Chaque semaine, dans un café parisien, ils se retrouvent pour évoquer les années noires de la guerre. Tous ont pris les armes dans le maquis, tous ont résisté très jeunes et dès la première heure. Tous sauf Saintonges, le sulfureux Saintonges, dont les secrets, en remontant au grand jour, vont libérer leur puissance néfaste.
La mort de Francis Delorme met le feu aux poudres. Son petit-fils doute qu'elle soit accidentelle. Il demande une enquête discrète à un ami d'enfance qui va, sans le vouloir, déchaîner des forces obscures.
Un fil souterrain relie la Seconde Guerre mondiale aux événements contemporains. Comme en 1943, quelques individus ont le pouvoir de détruire ou de sauver l'humanité. Et comme aux heures les plus sombres, ceux qui s'engagent dans un combat désespéré rencontrent l'amour sur leur chemin.
De la Résistance au péril nucléaire, Chochana Boukhobza puise dans des sources historiques la matière de son roman. Autour de la mémoire perdue et de sa résurgence, autour d'une fureur qui ne s'apaise jamais, une œuvre haletante et traversée par le souffle de l'Histoire.
J’avais été transportée par le troisième jour, l’ouvrage avec lequel j’ai fait sa connaissance, dans tous les sens du terme. J’avais aimé, un peu moins, mais aimé tout de même sous les étoiles. Fureur, ne pouvait pas, ne pas me plaire. Le sujet m’attirait, l’écriture de Chochana Boukhobza est agréable à lire, sa manière d’organiser les choses me convient. Je ne pouvais pas passer à côté de fureur. Impossible… et pourtant…
J’ai terminé l’ouvrage sur une déception, d’abord sur une fin qui pour moi n’a aucun sens, une fin qui me laisse seule devant mon livre, pleine d’interrogations, de questions sans réponses.
Si les sujets abordés sont tous, individuellement intéressants, voir passionnants, ils manquent de liant, de développement Il y a trop de choses .Et j'ai très mal compris l’association de tout cela.
L’évocation du groupe de résistants de la montagne noire, du groupe Manouchian m’a réellement interpellée. J’ai eu la chance de chanter l’Affiche rouge, mis en musique par Léo Ferré. Alors c’est dire que cela me parle. Mais c’est trop peu abordé
Quel rapport entre les résistants de la montagne noire, et Fukushima ?
Mettre en lumière un groupe de vieux amis liés entre eux par leur combat contre l’ennemi était un bon départ. Ils sont attachant ces papys encore plein d’énergie. Mais tout de même, 2 grands-pères de 85 ans ou plus qui partent seuls en Iran…cela me laisse un peu perplexe. Connaissant assez bien le 3ème voir le 4ème âge, cela me parait pour le moins improbable. J’ai assez mal saisi le but de ce voyage.
J’aurais aimé en savoir un peu plus sur ce qui est arrivé à Francis, cette affaire occupe une bonne part du livre, entretien un certain suspense. On lit, on attend, on espère ; mais rien ne vient
Saintonges ? Qu’en est-il du mystère Saintonges ? On ne sait rien.
Tout cela fait de l’ouvrage une histoire non aboutie, et me laisse sur une grosse faim non assouvie.
Fureur, Chochana Boukhobza
Denoël, janvier 2012
407 pages
4ème de couverture :
Ils s'appellent Jacques, Alexis, Fanny, Stéphane, Francis... Malgré leur grand âge, ils aiment rire, boire et danser. Chaque semaine, dans un café parisien, ils se retrouvent pour évoquer les années noires de la guerre. Tous ont pris les armes dans le maquis, tous ont résisté très jeunes et dès la première heure. Tous sauf Saintonges, le sulfureux Saintonges, dont les secrets, en remontant au grand jour, vont libérer leur puissance néfaste.
La mort de Francis Delorme met le feu aux poudres. Son petit-fils doute qu'elle soit accidentelle. Il demande une enquête discrète à un ami d'enfance qui va, sans le vouloir, déchaîner des forces obscures.
Un fil souterrain relie la Seconde Guerre mondiale aux événements contemporains. Comme en 1943, quelques individus ont le pouvoir de détruire ou de sauver l'humanité. Et comme aux heures les plus sombres, ceux qui s'engagent dans un combat désespéré rencontrent l'amour sur leur chemin.
De la Résistance au péril nucléaire, Chochana Boukhobza puise dans des sources historiques la matière de son roman. Autour de la mémoire perdue et de sa résurgence, autour d'une fureur qui ne s'apaise jamais, une œuvre haletante et traversée par le souffle de l'Histoire.
J'avais noté ce livre car tu aimais l'auteur et j'en ai eu de bons échos. Ta chronique me dissuade de le lire.
RépondreSupprimerAh, je viens d'écrire mon article, et en cherchant si d'autres l'avaient lu je tombe sur le tien. Je suis contente de voir que je ne suis pas la seule à ne pas avoir compris la fin, je me demandais si c'était moi qui avait loupé un truc...
RépondreSupprimer