samedi 30 juin 2012

Je ne porte pas mon nom



Pour en rajouter une couche, rien de pire que l’ennui avec un polar. Cela ronronne mollement, et la tendance est plutôt à l’effet stilnox puissance 10 que Guronsan…..
Par ailleurs, est-ce la faute à la traduction, le style ne révèle rien de particulier, rien de remarquable, rien qui puisse attirer le lecteur.
Dommage pour cette jeune auteur que de démarrer ainsi avec moi. S’il y avait eu un petit quelque chose, une petite lueur, je lui aurais bien accordé une petite chance en terminant son livre ; hélas, j’ai connu des polars nettement plus prenants, et nettement mieux écrits. Celui –là ne mérite pas d’être primé. Je ne suis pas certaine d’avoir envie de tenter à nouveau l’aventure avec elle.


Je ne porte pas mon nom,Anna Grue
Gaïa (06/01/2010)/points (05/04/2012)
 349 /456 pages
Sélection 2012 pour le prix du meilleur polar des lecteurs Points 

 
4ème de couverture :
Rien de pire que l’ennui, même pour un dépressif notoire comme Dan ! Au repos dans sa villa de Christianssund, acquise grâce à une brillante carrière dans la pub, le mystère s’invite dans sa vie. Un ami, le commissaire Flemming, fait appel à lui : une employée de son agence a été tuée et, étrangement, personne ne connaît son nom. Dan enquête et se retrouve sur les traces d’un réseau de prostitution…

 A propos de l'auteur : Anna Grue
Anna Grue est née au Danemark en 1957. Elle débute comme graphiste puis journaliste dans la presse écrite. Elle publie son premier roman en 2005 et décide, deux ans plus tard, de devenir écrivain à plein temps. Je ne porte pas mon nom, est le premier opus d'une série de polars mettant en scène Dan Sommerdahl, dit "le Détective chauve".

Passage par le Danemark pour le challenge d'Anne.


Pour le défi d'Opaline.


 Pour le Danemark dans le cadre du défi scandinave proposé par Prune .   
Lecture pour le défi d'Anne

3 commentaires:

  1. Ah tu ne l'as carrément pas terminé... je crains le pire !!

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  2. Aïe, aïe, aïe. Il est dans ma PAL aussi, je pensais qu'il serait "lisible", moi qui ai du mal avec les romans policiers danois.

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