Une belle couverture, très belle même ; un
sujet rarement traité en littérature, américaine de surcroît puisque que les faits ne sont pas
à la gloire de ce pays ; auteur sympathique…. Bref, je me suis laissé
faire !!!
C’est le genre de livre qui se lit bien, et vite ;
peu de pages… Heureusement du reste, parce qu’il n’en reste rien. Je n’ai ni
aimé, ni pas aimé ; j’ai simplement regardé passer le train, et me suis
dit « au suivant »…
Froideur, indifférence, neutralité, pas de noms, pas
de prénoms ; rien n’incite à s’impliquer dans cette lecture.
Si je n’avais pas sous la main son nouvel ouvrage et
qu’il n’était pas pressenti pour être sélectionné dans les mois qui viennent
pour le prix des lectrices Elle… je me serais bien gardé d’y revenir…
Heureusement, comme celui-ci, il est court, donc je pense y survivre.
Quand l’empereur était un dieu, Julie Otsuka
Phébus (16 Février 2004) / 10-18 (5 Juin 2008)
192 /155 pages
4ème
de couverture :
Au lendemain de l'attaque de Pearl Harbour et
jusqu'en 1945, le FBI a déporté des centaines de milliers de citoyens
américains d'origine japonaise soupçonnés de trahison. En puisant dans
l'histoire de ses grands- parents, Julie Otsuka raconte la souffrance d'une
famille arrachée à sa demeure de Bekerley pour être parquée dans un camp de
l'Utah à la frontière du désert.
Suivront trois ans d'emprisonnement, de peine et
d'humiliations auxquels il leur faudra survivre pour tenter, une fois libérés,
de se reconstruire dans les ruines d'une maison pillée.
A
propos de l’auteur :
Diplômée en art, Julie Otsuka est née en 1962 en
Californie et vit aujourd'hui à New York. Quand l’empereur un dieu est son premier roman.
11/26.....[O]
Pour le défi d'Anne.
Pour le défi d'Opaline.
j'avais envie le lire "Certaines N Avaient Jamais Vu la Mer"
RépondreSupprimerA ivre jugé froid, billet glacial. Merci pour cette participation.
RépondreSupprimerPour un premier roman, ce n'est pas une réussite... dommage car le sujet m’intéresse vraiment!
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