lundi 21 avril 2014

La grâce des brigands



Véronique Ovaldé fait partie de ces nombreux auteurs que je n’ai pas envie de lire (j’assume, et revendique ce qui peut passer pour un manque d’ouverture d’esprit ; je lis non pas pour lire, mais parce que le menu m’intéresse).

Alors pourquoi ce billet ? Tout simplement parce que cet ouvrage fait partie de la sélection du Prix Océans 2014.

Que ressent-on quand arrive un livre dont on n’a pas envie, quand on doit lire un auteur dont l’univers n’attire pas ? Une profonde solitude, et avouons-le, on se sent animé d’une profonde mauvaise foi, et armé de tous les prétextes pour poser le satané livre. Je suis même allée faire des courses un jour férié….c’est dire !!!

Bref, j’ai tenu 70 pages…. Et je suis même allée lire les fameuses dernières pages qui, parait-il donnent la signification du titre bien mystérieux…. Et bien, vous me croirez si vous vous voulez, mais je n’ai même pas trouvé !!!

Mauvaise foi ? Oui sans doute. Mais je ne suis pas rentré dans l’univers de ce livre. Il y a un truc qui m’a profondément agacé, c’est le Maria Cristina Väätonen à chaque ligne….. C’est bon, pas besoin de nous le rabâcher, on le sait !!!

Les inconditionnelles de Véronique Ovaldé me pardonneront mon impertinence, mais je le savais bien, cet auteur ne m’attire pas…sinon, je l’aurais déjà lue , ou du moins, je l’aurais déjà inscrite sur mon petit carnet….et puis perdre son temps un jour de congé avec des lectures insatisfaisantes quand on a tant de livres désirés à lire, il y a de quoi être en colère ( cf l’ouvrage de MarieDarrieussecq )

 Ouvrage lu dans le cadre du Prix Océans. Ici, et .  

La grâce des brigands, Véronique Ovaldé
Editions de l’Olivier, Août 2013
288 pages

4ème de couverture :

Maria Cristina Väätonen a seize ans lorsqu’elle quitte la ville de son enfance, une bourgade située dans le grand Nord, entourée de marais et plongée dans la brume la plupart de l’année. Elle laisse derrière elle un père taciturne, une mère bigote et une soeur jalouse, pour s’installer à Santa Monica (Los Angeles). C’est le début des années 70 et des rêves libertaires.

Elle n’a pas encore écrit le roman dans lequel elle réglera ses comptes avec sa famille, et qui la propulsera sur la scène littéraire. Et elle n’est pas encore l’amante de Rafael Claramunt. Séducteur invétéré, cet excentrique a connu son heure de gloire et se consacre désormais à entretenir sa légende d’écrivain nobélisable. Est-il un pygmalion ou un imposteur qui cherche à s’approprier le talent de Maria Cristina ?
A propos de l’auteur :

Véronique Ovaldé est née en 1972 au Perreux-sur-Marne. En 2000, elle publie son premier roman, Le Sommeil des poissons, aux éditions du Seuil. Suivront ensuite, notamment, Les hommes en général me plaisent beaucoup (Actes Sud, 2003), ou Déloger l'animal (Actes Sud, 2005). Elle rejoint les éditions de l'Olivier en 2008 en publiant Et mon coeur transparent, qui obtient le prix France Culture-Télérama. En 2009, Ce que je sais de Vera Candida reçoit un accueil enthousiaste de la critique et du public, et obtient le prix Renaudot des lycéens, le prix France Télévisions, et le grand prix des lectrices de Elle. Depuis, elle a également publié Des vies d'oiseaux en 2011 et La Grâce des brigands en 2013.




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