A
noter, que j’avais en main la seconde édition, parue en avril 2012, et qu’entre
temps une remise à jour a été publiée. J’ai donc lu des informations, quelques
peu « rassies », pour certaines, en tout cas !!! Rien de bien
grave à mon avis….
Voilà
un état né dans la guerre, construit dans la douleur, et seul au monde à ne pas
être reconnu par plusieurs pays… Un état au milieu d’une région qui est une
véritable poudrière… Et une petite mise au point n’est pas superflue.
Pour
cela, un bon schéma vaut mieux qu’un long discours. Et si, le propos émane d’un
spécialiste, que demander de mieux ?
J’ai
une affection particulière pour cette collection, qui tout en restant
synthétique, ne cède en rien à la facilité. Les choses les plus compliquées (et
pour le cas d’Israël, c’est compliqué), à chaque fois, un petit miracle a lieu,
pour qu’elles paraissent limpides au lecteur.
Ouvrage
bien conçu tant dans sa progressivité, dans sa cartographie nombreuse et
détaillée, que dans ses textes, L’atlas géographique d’Israël tient toutes ses
promesse s’adresse à toutes celles et ceux qui veulent approfondir leurs
connaissances.
Atlas géopolitique
d’Israël, Frédéric Encel
Autrement éditions,
Janvier 2015 (troisième édition)
96 pages
4ème de
couverture :
Les
défis d'une démocratie en guerre
Plus
de 90 cartes et infographies en couleurs pour saisir au plus près la complexité
politique, socio-économique, démographique, diplomatique et stratégique
d'Israël.
.
Les représentations historiques, mentales et géopolitiques qui ont fondé l'État
d'Israël.
.
Les Israéliens peuvent-ils rompre avec l'isolement ?
.
L'enjeu de la démographie : fantasme ou réalité ?
.
La question stratégique des ressources.
.
Pourquoi les pourparlers israélo-palestiniens sont-ils toujours bloqués ?
Autant
de questions abordées avec objectivité par un spécialiste reconnu, dans la
troisième édition de cet ouvrage de référence.
A propos de l’auteur :
Frédéric
Encel, né à Paris le 4 mars 1969, est un géopolitologue et essayiste français.
Il est professeur de relations internationales à l’École supérieure de gestion,
habilité à diriger des recherches (HDR), maître de conférences à Sciences-Po
Paris, et directeur de séminaire à l'Institut français de géopolitique,
université de Vincennes à Saint-Denis. Il est également intervenant à
l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). Frédéric Encel a été
nommé au grade de Chevalier dans l'Ordre national du Mérite (JO 17/5/2009).
Diplômé
de Sciences-Po et docteur en géopolitique de l’université de Vincennes à
Saint-Denis, premier Prix au Concours national Résistance et Déportation
(1987), Frédéric Encel est professeur de relations internationales à l’École
supérieure de gestion. Habilité à diriger des recherches, il est en outre
maître de conférences à l'Institut d'études politiques de Paris et intervenant
au centre de préparation à l'ENA de l'Institut d'études politiques de Rennes.
Hormis ses activités académiques, il est consultant en géopolitique pour des
entreprises publiques et privées œuvrant à l’exportation.
Formé
par Yves Lacoste au Centre de recherche et d'analyse en géopolitique (CRAG,
devenu ensuite Institut français de géopolitique), il est spécialiste du
conflit israélo-palestinien. Ses travaux et publications portent sur les
questions stratégiques, les relations internationales (Moyen-Orient en
particulier), la défense de la laïcité et l’égalité des femmes. En 1998, il
écrit Géopolitique de Jérusalem, sujet de sa thèse de doctorat. L'année
suivante, il rédige Le Moyen-Orient entre guerre et paix. Une géopolitique du
Golan. En 2000, il publie L’art de la guerre par l’exemple. Stratèges et
batailles. Suite aux événements du 11 septembre 2001, il rédige Géopolitique de
l’apocalypse. La démocratie à l’épreuve de l’islamisme en 2002. En
collaboration avec Olivier Guez, l'année suivante, il publie La Grande
Alliance. De la Tchétchénie à l’Irak : un nouvel ordre mondial. En 2004, il
écrit avec François Thual Géopolitique d’Israël. Dictionnaire pour sortir des
fantasmes. Son avant-dernier essai en date, Comprendre le Proche-Orient. Une
nécessité pour la République, coécrit avec Eric Keslassy, traitait de la menace
potentielle d'une « mauvaise importation du conflit proche-oriental en France
pour la cohésion nationale ».
Pour le challenge d'Enna, catégorie Lieu (3ème ligne)
3/24
Tu en es déjà à la troisième ligne du petit bac...bravo
RépondreSupprimerPeut-être intèressant pour amèliorer ses connaissances mais je prèfère tout de même le faire avec des romans