Cela
grouille de monde dans le Quartier, plus précisément cela grouille de femmes…Aline,
Suzanne, Mame Baby, Mariette.
Je
me faisais une joie de découvrir ce premier roman. J’imaginais des choses, sans
doute, une belle histoire, et pourquoi pas le coup de cœur tant attendu avec
cette rentrée…
J’ai
vite décroché et déchanté. Non pas qu’il s’agisse d’un mauvais roman ; au
nom de quoi l’affirmer ! Il m’a manqué une certaine structure, une trame
minimum pour faire une histoire qui à mes yeux tient debout.
J’ai
plus découvert une chose un peu floue, pas très définie dans laquelle je
n’étais pas à l’aise et qui de fait ne m’a pas retenue.
Ce
roman, qui j’en suis certaine trouvera son public, m’a filé entre les doigts, ne
m’a pas procuré la moindre émotion, m’a perdu. Il m’a échappé, tout simplement.
Ne
m’en voulez pas, je suis sans doute un peu trop fatiguée pour ce genre de
littérature.
Merci aux éditions Gallimard et Babélio pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique spéciale.
Merci aux éditions Gallimard et Babélio pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique spéciale.
La
fin de Mame Baby, de Gaël Octavia, chez Gallimard (Août 2017,180 pages)
Gaël
Octavia, née le 29 décembre 1977 à Fort-de-France, est une écrivaine et
dramaturge française. Elle est aussi réalisatrice et artiste peintre. La fin de
Mame Baby est son premier roman.
J'ai apprécié ce premier roman
RépondreSupprimerJ'ai aimé, mais sans plus.
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