Cela
commence dans une salle de ventes de
New-York. Paul et Jennifer, deux amis assistent à une vente au cours de
laquelle Paul va casser sa tirelire pour une carte de New-York, très rare, et
donc très chère. Paul est collectionneur, avocat.
Jennifer,
est mariée à un homme d’affaire iranien, toujours en vadrouille, jaloux et ne renonçant à aucun sacrifice pour suivre
à la trace sa femme. Il faut dire qu’elle n’est pas vraiment discrète.
Paul
et Jennifer sont voisins de palier, sur l’une des avenues les plus prestigieuses
de New-York.
A
priori, rien de bien croustillant… Oui,
mais surgit grand costaud assez mystérieux qui embarque Jennifer, et Paul qui
se met en tête d’acquérir la carte la plus recherchée, et toujours la propriété
d’un vieux riche sur le point de passer l’arme
gauche.
Si
le début de l’histoire est assez tranquille, elle ne va pas le rester bien
longtemps. Colin Harrison embarque très vite son lecteur dans un récit musclé
et bourré d’adrénaline et dans un thriller original qui a pour toile de
fond New-York, personnage à part entière.
Certes,
il ne révolutionnera pas le genre, mais il est suffisamment divertissant et
bien amené pour nous faire passer un agréable moment, et ouvrir une formidable
fenêtre sur cette ville attachante et addictive.
Aucune
raison de s’en priver, donc, d’autant que Poirette le recommande !
Manhattan
vertigo de Colin Harrison, traduit de l’américain par Mickael Belano, chez Belfond ( Avril 2018,
416 pages)
Colin
Harrison est un écrivain américain né en Pennsylvanie en 1960
Diplômé
d'anglais du Haverford College, il obtient par la suite un Master de création
littéraire à l'université de l'Iowa.
Rédacteur
au Harper's Magazine, il a été ensuite éditeur dans la célèbre maison Scribner
en 2000.
Je ne connaissais pas du tout ce livre.
RépondreSupprimerMais ton avis positif dessus m'a convaincu je me le met dans ma wishlist
Merci de la découverte.
Bonne soirée
J'ai déjà entendu du bien de cet auteur, il faudra que je déocouvre à l'occasion.
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