Encore
un premier roman qui ne laissera pas un souvenir impérissable…
Menée
tambour battant, la narration de ce court, et il faut bien le dire (en tout cas
pour moi), énigmatique ouvrage, la narration suit parfaitement ce que l’on
perçoit de suite comme une fuite éperdue loin de tout, et plus précisément au
nord du monde.
La
narratrice fuit "l’homme chien", et va croiser sur sa route une
ribambelle de personnages dont un enfant qu’elle "embarque" avec
elle.
Jusque-
là tout est clair, enfin, à peu près compréhensible. C’est ensuite que la chose
se complique pour moi, alors qu’il est sensé se passer quelque chose entre la
femme et l’enfant….cela m’a échappé…acte manqué révélateur, ou bien événement trop subtilement évoqué pour que mon esprit cartésien puisse s’en saisir ?
Telle est la question, sans réponse !
J’ai
rien à dire de l’écriture, si ce n’est qu’elle est au service d’une histoire
qui ne m’a pas plu ; donc je reste sur ce dernier point : une
histoire pas pour moi, d’un auteur visiblement pas pour moi non plus. Fort
heureusement, le livre est court, se lit vite, et s’oublie vite également.
Le
nord du monde de Nathalie Yot aux éditions de la contre-allée (Août 2018,150
pages)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire