Elle
est une étudiante douée, diplômée mais, crise oblige incapable de trouver un emploi
chez elle, en Argentine. Elle reprend la direction de la Grande-Bretagne avec
pour objectif de travailler, non sans bénéficier des larges subsides de sa mère.
De
mal en pis, elle s’enfonce dans la précarité. Elle travaille, en attendant
mieux, mais sans jamais rien voir venir.
Il
faut dire, que notre héroïne ne fait pas grand-chose pour se faire apprécier,
pour se mettre en valeur. Une looseuse, en quelque sorte ; une looseuse
volontaire, qui, je dois l’avouer, m’a assez vite agacée.
Nous
voilà devant un roman court (et c’est heureux) dont je n’ai pas aimé le
personnage principal, ni l’histoire, en tout cas le terme de l’histoire, à mon
sens sans queue, ni tête.
J’imagine
aiment que ce roman trouvera son public ; il ne répondait pas à mon
attente du moment.
Bonne
élève de Paula Porroni, traduit de l’espagnol Argentine) par Marianne Million aux
éditions Noir sur blanc (Janvier 2019,2160 pages)
Paula
Porroni est née à
Buenos Aires en 1977. Après des études universitaires de lettres dans la
capitale argentine, elle a suivi un master en études latino-américaines à
l’université de Cambridge puis en écriture créative à New York. Elle vit
actuellement à Londres. Bonne élève est son premier roman, remarqué par la
critique dès sa parution. Elle est aussi l’auteure de nouvelles publiées dans
diverses revues.
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