dimanche 24 novembre 2013

Dans la lumière


Attirée par une quatrième de couverture accrocheuse, et ayant à plusieurs reprise lu le plus grand bien des romans de l’auteur, je me suis laissée tenté par ce roman…
Bien mal m’en a pris. Dès les premières pages, j’ai compris que l’ennui serait mon compagnon de lecture.

Que puis-je lui reprocher ? Le fait d’être bourré de longueur. L’auteur aurait gagné à condenser.

Les descriptions de la nature sont à peu près les seules choses sur lesquelles j’ai pu me fixer un peu. Mais tout cela reste bien peu pour un livre de plus de 500 pages.

Je n’ai pas vraiment été convaincue par les personnages,ni l’univers de l’auteur. Sans doute n’était-ce pas le bon livre pour faire connaissance avec Barbara Kingslover ?

Et puis le coté militant est trop lourd pour moi. Tout cela me parait trop moralisateur. En réalité, je m’attendais à autre chose que je ne parviens pas à définir. Peut-être que j’ai été fortement influencée par des avis concernant un ouvrage de l’auteur dont j’ai entendu beaucoup d’éloges ?
 Et puis, peut-être n’étais-ce pas le bon moment pour cette rencontre avec l’auteur ?

Dans la lumière, Barbara Kingslover
Editions Payot-Rivage, Août 2013
550 pages


4ème de couverture :

Dans les Appalaches, au coeur de la forêt, Dellarobia Turnbow aperçoit une lumière aveuglante. La vallée semble en feu. Mais ces reflets rougeoyants n'ont rien à voir avec des flammes. Ce sont les ailes de centaines de papillons qui recouvrent le feuillage des arbres.
Cette étrange apparition devient un enjeu collectif : la communauté religieuse de la ville croit reconnaître un signe de Dieu et certains scientifiques invoquent une anomalie climatique. Toute l'Amérique se met à observer ce coin isolé, ancré dans les traditions rurales : Dellarobia comprend que de simples papilons vont bouleverser sa vie, et peut-être l'ordre du monde.

A propos de l'auteur

Barbara Kingsolver est née aux Etats-Unis en 1955. Journaliste, poète et romancière, elle a écrit une dizaine de livres, tous publiés chez Rivages. Connue pour son engagement écologiste, elle tient une place à part dans la littérature américaine. En 2010, elle a obtenu le prestigieux Orange Prize pour Un autre monde.

 Merci à Price minister qui m'a permis de lire ce livre dans le cadre de l'opération des matchs de la rentrée littéraire.

2 commentaires:

  1. Je n'avais pas choisi ce livre n'ayant rien lu de la part des lecteurs. Je ne connais pas l'auteur non plus. Effectivement, elle sera peut-être à découvrir sur un autre titre.

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  2. Pareil que Jostein et puis le côté "communauté religieuse" des américains est un repoussoir

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