Attirée par une quatrième de couverture
accrocheuse, et ayant à plusieurs reprise lu le plus grand bien des romans de
l’auteur, je me suis laissée tenté par ce roman…
Bien mal m’en a pris. Dès les premières
pages, j’ai compris que l’ennui serait mon compagnon de lecture.
Que puis-je lui reprocher ? Le
fait d’être bourré de longueur. L’auteur aurait gagné à condenser.
Les descriptions de la nature sont à
peu près les seules choses sur lesquelles j’ai pu me fixer un peu. Mais tout cela
reste bien peu pour un livre de plus de 500 pages.
Je n’ai pas vraiment été convaincue par
les personnages,ni l’univers de l’auteur. Sans doute n’était-ce pas le bon
livre pour faire connaissance avec Barbara Kingslover ?
Et puis le coté militant est trop lourd
pour moi. Tout cela me parait trop moralisateur. En réalité, je m’attendais à autre
chose que je ne parviens pas à définir. Peut-être que j’ai été fortement
influencée par des avis concernant un ouvrage de l’auteur dont j’ai entendu
beaucoup d’éloges ?
Et
puis, peut-être n’étais-ce pas le bon moment pour cette rencontre avec l’auteur ?
Dans la lumière, Barbara Kingslover
Editions Payot-Rivage, Août 2013
550 pages
4ème de couverture :
Cette étrange apparition devient un enjeu collectif : la communauté religieuse de la ville croit reconnaître un signe de Dieu et certains scientifiques invoquent une anomalie climatique. Toute l'Amérique se met à observer ce coin isolé, ancré dans les traditions rurales : Dellarobia comprend que de simples papilons vont bouleverser sa vie, et peut-être l'ordre du monde.
A propos de l'auteur:
Barbara Kingsolver est née aux Etats-Unis en 1955. Journaliste, poète et romancière, elle a écrit une dizaine de livres, tous publiés chez Rivages. Connue pour son engagement écologiste, elle tient une place à part dans la littérature américaine. En 2010, elle a obtenu le prestigieux Orange Prize pour Un autre monde.
Je n'avais pas choisi ce livre n'ayant rien lu de la part des lecteurs. Je ne connais pas l'auteur non plus. Effectivement, elle sera peut-être à découvrir sur un autre titre.
RépondreSupprimerPareil que Jostein et puis le côté "communauté religieuse" des américains est un repoussoir
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