dimanche 23 février 2014

Mélo


Second ouvrage de la sélection mensuelle pour le Prix Océans 2014, et seconde déconvenue… mais pour des raisons différentes.

La première, c’est que  quelque chose m’échappe complètement… je ne comprends absolument rien à ce que je lis.
Je tente d’avancer un peu en m’intéressant à la seconde partie… et je comprends encore moins… enfin si, je crois deviner qu’il s’agit de 3  textes qi se suivent mais n’ont guère de rapport entre eux… des nouvelles ? ( je déteste les nouvelles…… )Non, ce serait précisé par l’éditeur… mais un roman bien curieux, pas très engageant, pas bien passionnant (j’ai avant tout besoin de comprendre, et de pouvoir situer qui est qui, et qui fait quoi…bref, un peu de concret !!!)

Il me reste un troisième ouvrage, et je crains que la maxime jamais 2 sans 3 puisse s’appliquer à cette sélection !!!
Ouvrage lu dans le cadre du Prix Océans. Ici, et

Mélo, Frédéric Ciriez
Editions Verticales, Janvier  2013
328 pages



4ème de couverture :
La veille du 1er mai 2013, deux hommes et une femme circulent dans les rues de Paris et de sa proche banlieue : un syndicaliste au bord du suicide, un sapeur congolais chauffeur de camion-poubelle et une jeune Chinoise vendeuse de briquets. Trois personnages qui se croisent à peine et vont bientôt glisser dans la nuit. Quel feu les consume ? Mélo. Avec sa langue incarnée, généreuse et imagée, Frédéric Ciriez s'impose ici comme un témoin de l'infra-ordinaire, des invisibles qui hantent notre réalité.

A propos de l’auteur :
Frédéric Ciriez est né en Bretagne en 1971. Il a suivi des études de lettres et de linguistique. Son premier roman, Des néons sous la mer (Verticales, 2008, Folio n° 5090) a été un succès médiatique et commercial. Il a également publié une novella, " Femmes fumigènes ", dans La NRF d'avril 2010).




2 commentaires:

  1. Je déteste aussi cette sensation de ne rien comprendre à ce que je lis, que tout est décousu.

    RépondreSupprimer
  2. "Mélo" est le titre qui m'a le plus intéressé sur les trois, mais je crois qu'il faut accepter de voir les trois histoires distinctes les unes des autres, comme des instantanés de vies sur le fil...

    RépondreSupprimer