Soutbek,
ville fictive, est la proie des flammes. Son maire, noir, est un homme affable
et conscient que personne d’autre que lui ne pourra aider les habitants qui en
ont besoin.
Parallèlement
au présent, s’insère ce qui semble être une histoire de l’Afrique du Sud, une
sorte d’histoire tribale. En réalité, je
reste assez évasive à ce sujet, car je n’ai pas vraiment pu identifier ce dont il
s’agissait. En outre, ces alternances
cassaient maladroitement le déroulé du roman.
Découvrir
une nouvelle plume a un côté existant ; d’autant plus quand elle provient
d’un pays aussi tourmenté que l’Afrique du Sud.
Je
dois dire m’être profondément ennuyée au cours de la lecture de ce roman ;
il ne s’y passe pas grand-chose. J’ai l’impression d’un très grand flou sur le
contenu, et d’un livre ‘un livre sans but bien précis.
La quatrième de couverture vante « un
livre qui rappelle certaines œuvres de Nadine Gordimer »….. Il ne faut pas
pousser, tout de même !! Cela fait très publicité mensongère, et cela me
fâche beaucoup !
Une
grosse déception donc, pour un livre dont je ne garderai que trop peu de choses !
Merci
à la masse critique Babélio et aux éditions de l’aube pour l’envoi de ce livre.
Les
oubliés du Cap, de Karen Jennings, traduit de l’anglais (Afrique du sud) par
Benoîte Dauvergne aux éditions de l’aube (Janvier 2017, 300 pages)
Karen
Jennings,
née au Cap (Afrique du Sud) en 1982, est l’auteure de nombreuses
nouvelles récompensées. Les Oubliés du
Cap est son premier roman, sélectionné pour le prix Etisalat de littérature.
Elle
est titulaire d'un Master et d'un doctorat en creative writing. Dans ses
oeuvres, elle traite de sujets sociaux et de l'après-apartheid.
J'ai ressenti le même ennui à la lecture d'une autre de leurs nouveautés...
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