Quelques
jours après en avoir terminé la lecture, je suis incapable de dire si ce livre
m’a plu ou non. En réalité, et c’est un triste constat, je n’ai pas saisi le
sens de ce roman.
Pour
moi, le constat est triste, car j’avais envie de le lire depuis sa parution. Je
lui reconnais bien volontiers son écriture soignée et précise, et sa
construction originale.
C’est
pourtant cette construction qui m’a perdue à la fois dans le temps et dans les
personnages. L’auteur mélange les époques, les faits. Il apparait que c’est
Magda Goebbels qui est omniprésente, alors que parait-il l’auteur a voulu
mettre en lumière Friedländer….tout cela m’a échappé…
J’aurais
tant voulu aimer ce livre qui, a reçu un très bon accueil du public
Roman faisant partie de la sélection du jury de décembre pour le Grand prix des lectrices Elle 2018.
Ces
rêves qu’on piétine de Sébastien Spitzer, aux éditions de l’observatoire (Août
2017, 310 pages)
Sébastien
Spitzer
est journaliste et écrivain né en 1970.
Journaliste
free-lance pour TF1, M6 ou Rolling Stone, il a réalisé plusieurs enquêtes sur
le Moyen-Orient, l'Afrique et les États-Unis.
Il
est l'auteur de "Ennemis intimes, les Bush, le Brut et Téhéran" en 2006
aux éditions Privé.
"Ces
rêves qu’on piétine" (2017), son premier roman, met en lumière les ombres
de Magda Goebbels et de ceux qui tentent de survivre à l’enfer.
Contrairement à toi, j'ai trouvé que Fridländer tout comme les autres porteurs étaient extrêmement présents. Malgré toute la noirceur du sujet, j'ai trouvé de la lumière et de la beauté dans ce roman.
RépondreSupprimerPour ma part, j'ai été séduite par ce récit croisé : quand la terreur s'enfonce dans les ténèbres, l'espoir et la lumière renaissent. J'ai trouvé ce texte plein de dignité et d'humanité. Pas un coup de cœur, mais presque ;-)
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