vendredi 24 novembre 2017

Ces rêves qu’on piétine



Quelques jours après en avoir terminé la lecture, je suis incapable de dire si ce livre m’a plu ou non. En réalité, et c’est un triste constat, je n’ai pas saisi le sens de ce roman.
Pour moi, le constat est triste, car j’avais envie de le lire depuis sa parution. Je lui reconnais bien volontiers son écriture soignée et précise, et sa construction originale.
C’est pourtant cette construction qui m’a perdue à la fois dans le temps et dans les personnages. L’auteur mélange les époques, les faits. Il apparait que c’est Magda Goebbels qui est omniprésente, alors que parait-il l’auteur a voulu mettre en lumière Friedländer….tout cela m’a échappé…

 J’aurais tant voulu aimer ce livre qui, a reçu un très bon accueil du public
Roman faisant partie de la sélection du jury de décembre pour le Grand prix des lectrices Elle 2018.

Ces rêves qu’on piétine de Sébastien Spitzer, aux éditions de l’observatoire (Août 2017, 310 pages)


Sébastien Spitzer est journaliste et écrivain né en 1970.

Journaliste free-lance pour TF1, M6 ou Rolling Stone, il a réalisé plusieurs enquêtes sur le Moyen-Orient, l'Afrique et les États-Unis.

Il est l'auteur de "Ennemis intimes, les Bush, le Brut et Téhéran" en 2006 aux éditions Privé.

"Ces rêves qu’on piétine" (2017), son premier roman, met en lumière les ombres de Magda Goebbels et de ceux qui tentent de survivre à l’enfer.

2 commentaires:

  1. Contrairement à toi, j'ai trouvé que Fridländer tout comme les autres porteurs étaient extrêmement présents. Malgré toute la noirceur du sujet, j'ai trouvé de la lumière et de la beauté dans ce roman.

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  2. Pour ma part, j'ai été séduite par ce récit croisé : quand la terreur s'enfonce dans les ténèbres, l'espoir et la lumière renaissent. J'ai trouvé ce texte plein de dignité et d'humanité. Pas un coup de cœur, mais presque ;-)

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