Où
il est question d’une famille du sud, et d’une lignée d’hommes éduqués, lettrés
mais passablement handicapés de la communication et de l’expression des
sentiments…
Cela
donne un ensemble particulièrement mou, lent et brouillon.
Le
thème avait tout pour me plaire…seulement dans ce texte un peu "mou du
genou", je me suis très vite ennuyée. J’ai longtemps cherché où l’auteur
voulait en venir, sans l’avoir vraiment trouvé.
Sur
la forme, je n’ai pas plus été séduite par la construction, assez quelconque,
il faut le dire ; ni par l’écriture indigne d’un candidat à un prix littéraire.
Tout
cela manque de souffle et d’ambition. Et parce qu’il s’agit d’un premier roman,
il ne donne vraiment pas envie d’y revenir, ni de persister !
Je
reste perplexe devant l’avalanche d’excellents retours de la part des lecteurs et
de la presse anglophones….
Roman lu pour le 17
ème prix du Roman Fnac (2018)
Les
jours de silence de Phillip Lewis, traduit de l’américain par Anne-Laure Tissut,
aux éditions Belfond (Août 2018, 430 pages).
Phillip
Lewis est né et a grandi dans les montagnes de Caroline du Nord. Il a étudié à
l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill et à la Norman Adrian Wiggins
School of Law, où il a été rédacteur en chef du Campbell Law Review. Il vit
maintenant à Charlotte. "Les jours de silence" est son premier roman.
Avec un tel avis, je ne peux que passer mon chemin
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