vendredi 15 mars 2019

L’odeur du chlore


Tout est bizarre dans ce court récit ; à mon humble avis, ces quelques pages n’ont rien d’un roman ; d’ailleurs l’auteur le reconnait 3 pages avant la fin…Tout est bizarre, je disais, même la biographie de l’auteur !!!

N’allez pas chercher quelconque histoire ici ; rien que de courts souvenirs ayant tous attrait au temps passé au sein de cette piscine historique de Firminy, celle conçue par Le Corbusier.
Des souvenirs proprement écrits, mais, qui me laissent franchement dubitative !!
Que fallait-il retenir de tout cela ? Quelle finalité, quel message ? Je ne sais pas !
Où fallait-il s’émouvoir ? Y avait-il d’ailleurs matière à s’émouvoir ? J’ai sans doute dû louper quelque chose !
Y avait-il un sens caché, un code secret que je n’aurais pas su élucider ? Je creuse, je creuse, mais je ne vois toujours rien !

Je ne serais pas allée chercher ce texte sans l’opération des 68. Mais, aurait-il manqué à mon bagage si je ne l’avais pas lu ? En toute franchise : non ! Je cherche encore ce qu’a voulu me dire son auteur.

L’odeur du chlore d’Irma Pelatan, aux éditions de la contre allée (Mars 2019, 98 pages)


Irma Pelatan est née quelque part sur le calcaire pelé du Causse Méjean, vers 1875. C’est cependant sous l’exact soleil de Tunisie qu’elle est morte, en 1957. Sur la carte entre les pointes du compas, s’ouvre tout l’espace de la Méditerranée, ce centre flottant – infini terrain de jeu pour sa soif d’ailleurs, pour ce fol esprit aventureux.

Irma Pelatan a pris corps à nouveau – mon corps – le neuf mars 2017, dans la chambre douze de l’hôpital de Vienne. Depuis, elle conquiert du terrain.

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