Ce
n’est pas forcément l’ouvrage le plus grand-public, ni le plus pragmatique sur
l’île de Pâques qu’il m’a été donné de lire ; ni le plus fluide.
Comme
un livre de nouvelles, il s’agit d’un recueil de textes et de témoignages écrits
par celles et ceux qui ont abordé sur l’île et/ou qui y ont consacré leurs
travaux scientifiques, présenté par le centre d’études de l’île de Pâques et de
la Polynésie.
Aussi,
il y a peu de points communs entre les écrits de Cook, Lapérouse, Alfred Metraux
(dont j’envisage de lire l’ouvrage), et Pierre Loti dont j’ai déjà parlé il y a
quelques semaines.
Il
y a assez peu d’homogénéité d’un extrait à l’autre tant sur le style que sur le
contenu. Cela explique notamment le temps qu’il m’a fallu pour le lire.
Néanmoins
appréhender ce que les premiers explorateurs de ce territoire a son intérêt
bien que certaines de leurs conclusions, ou hypothèses ont été contredites par
la suite.
De
toute manière cette île du bout du monde n’a pas encore livré tous ses secrets ;
avec en particulier le mystère des tablettes dont on n’a pas encore déchiffré
les signes.
Ouvrage
intéressant donc parce qu’il réuni les témoignages principaux et qu’il en renferme
certains introuvables ou non traduits ailleurs.
L’île
de la fin du monde, ouvrage collectif aux éditions Bibliomnibus (2015 ;200
pages)
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