jeudi 23 mai 2019

L’île de la fin du monde


Ce n’est pas forcément l’ouvrage le plus grand-public, ni le plus pragmatique sur l’île de Pâques qu’il m’a été donné de lire ; ni le plus fluide.
Comme un livre de nouvelles, il s’agit d’un recueil de textes et de témoignages écrits par celles et ceux qui ont abordé sur l’île et/ou qui y ont consacré leurs travaux scientifiques, présenté par le centre d’études de l’île de Pâques et de la Polynésie.
Aussi, il y a peu de points communs entre les écrits de Cook, Lapérouse, Alfred Metraux (dont j’envisage de lire l’ouvrage), et Pierre Loti dont j’ai déjà parlé il y a quelques semaines.

Il y a assez peu d’homogénéité d’un extrait à l’autre tant sur le style que sur le contenu. Cela explique notamment le temps qu’il m’a fallu pour le lire.

Néanmoins appréhender ce que les premiers explorateurs de ce territoire a son intérêt bien que certaines de leurs conclusions, ou hypothèses ont été contredites par la suite.

De toute manière cette île du bout du monde n’a pas encore livré tous ses secrets ; avec en particulier le mystère des tablettes dont on n’a pas encore déchiffré les signes.

Ouvrage intéressant donc parce qu’il réuni les témoignages principaux et qu’il en renferme certains introuvables ou non traduits ailleurs.

L’île de la fin du monde, ouvrage collectif aux éditions Bibliomnibus (2015 ;200 pages)


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire