vendredi 10 juillet 2020

Un fleuve de fumée

Cela devait être une promenade de santé, une sorte de récréation, ce fut un long chemin de croix de plus de700 pages…

En mai, j’étais ravie d’entamer la trilogie de l’Ibis dont le premier volet, Un océan de pavots, m’avait transportée sous d’autres cieux dans une aventure en perpétuel mouvement.

C’est confiante et avide que j’aborde le second volet. Il me tardait, en effet, de continuer la navigation en Maurice et la Chine en compagnie de personnages hauts en couleur et attachants.

Je ne sais pas ce qui s’est passé entre ces deux ouvrages ; je ne sais si c’est moi ou l’ouvrage…toujours est-il que j’ai trouvé cela long, très long, beaucoup trop long et surtout extrêmement brouillon. L’auteur semble s’être égaré dans les volutes d’opium. Dommage….

Rien de plus à en dire, si ce n’est que je ne me risquerai pas dans la lecture du dernier volet, mais que je ne renonce pas à d’autres romans isolés de l’auteur.

Un fleuve de fumée d’Amitav Ghosh, tradit de l’anglais (Inde) par Christiane Besse chez Robert Laffont (Mars 2013,630 pages ) et chez 10/18 (Avril 2014,730 pages)

 

Salué par le Prix Nobel J. M. Coetze, Amitav Ghosh est l'un des plus célèbres auteurs indiens contemporains. Né en 1956 à Calcutta, il a passé son enfance au Bangladesh, en Iran, en Inde et au Sri Lanka. Après avoir enseigné à Delhi et aux États-Unis, il se partage désormais entre Calcutta, Goa et Brooklyn. Célébrés dans le monde entier, couronnés de prestigieux prix littéraires, ses romans soulèvent l'enthousiasme des lecteurs. Les Feux du Bengale (Le Seuil, 1990) a reçu le prix Médicis étranger. Il a depuis publié Le Pays des marées, Un océan de pavots, Un fleuve de fumée et le troisième volet de la trilogie de l'Ibis chez Robert Laffont.




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